Lidder, Mannat2019-01-032019-01-032017-08-012018-11-23http://hdl.handle.net/10012/14290Copyright remains with the author unless otherwise noted within; the author reserves all rights. The University of Waterloo exercises its non-exclusive right to distribute and make this work available non-commercially for the purposes of preserving and sharing the work with scholars and the public. All further usage requires permission of the copyright holder.Le fait divers est une réalité quotidienne qui fait partie de notre culture et de notre société. Il insiste sur la rareté et l’imprévisibilité d’un incident tout en donnant l’impression, de par sa forte médiatisation, que de tels événements arrivent plus souvent que nous ne le pensons. Le fait divers est donc un concept paradoxal et universel. Dans son essai intitulé « Structure du fait divers », Roland Barthes nous explique certaines caractéristiques du fait divers. En premier lieu, il précise que : « le fait divers […] est une information totale, ou plus exactement, immanente; […] il ne renvoie formellement à rien d’autre qu’à lui-même » (189). Le fait divers est donc « une structure fermée » (189) et il contient toute l’information dont nous avons besoin pour le comprendre. Barthes continue à développer cette définition et il indique que « les relations immanentes au fait divers [peuvent] se ramener à deux types. [...]frL’affaire Dubuisson : Je vous écris dans le noir et La petite femelleMajor Research Paper